Ici, on pourra télécharger en Mp3 l'unique single de Noël Nickel sorti en 1981 !
La Rage
Une minute et vingt secondes pour exprimer sa rage, voici un nouvel extrait de la K7 démo de Sherwood !
Rot Guts
Rot Guts, un groupe belge de post-punk et coldwave, a marqué les esprits avec leur single "Forgotten In The Age", sorti en 1982 sous le label Nuclear Production Records. Ce morceau, accompagné de "What Did You Do?" en face B, se distingue par ses lignes de basse profondes, ses guitares anguleuses et ses paroles mélancoliques. La voix de Thierry Lenoir ajoute une couche de gravité et d'émotion brute à la chanson. Enregistré au Studio Bobine Jemappes à Mons, Belgique, le single reflète l'atmosphère industrielle et froide de la scène musicale européenne des années 80. Bien que Rot Guts n'ait pas atteint une renommée mondiale, leur musique continue de résonner auprès des amateurs de post-punk et de coldwave. "Forgotten In The Age" est souvent cité comme un classique du genre, apprécié pour son authenticité et son intensité émotionnelle. Les membres du groupe, dont Thierry Duhin à la guitare, Dee Dee S à la basse et Enrico Fialdini à la batterie, ont tous contribué à créer un son unique et mémorable. Voici "Forgotten In The Age".
Les Nouveaux Abris
Nouvel extrait du long de Pavillon 7B... Voici "Les Nouveaux Abris" et son intro "architecturale" !
Marshall Crenshaw
Marshall Crenshaw, né le 11 novembre 1953 à Detroit, Michigan, est un musicien, chanteur, compositeur et guitariste américain dont la carrière s'étend sur plusieurs décennies. Connu pour ses mélodies accrocheuses et ses paroles sincères, Crenshaw a marqué l'industrie musicale avec des hits comme "Someday, Someway", "Cynical Girl" et "Whenever You're on My Mind".
Crenshaw a commencé sa carrière musicale en jouant le rôle de John Lennon dans la comédie musicale "Beatlemania" à la fin des années 1970. En 1981, il a sorti son premier single "Something's Gonna Happen", suivi de son album éponyme en 1982, qui a atteint la 50ème place des charts américains. Son single "Someday, Someway" est devenu un hit, atteignant la 36ème place du Billboard Hot 100. Ce tube a été repris par le magnifique Robert Gordon et c'est comme ça que j'ai découvert l'animal.
Le style musical de Crenshaw est souvent comparé à celui de Buddy Holly, avec des influences provenant de la soul et du rockab'. Ses chansons sont souvent caractérisées par des mélodies entraînantes et des paroles plutôt profondes, ce qui lui a valu une base de fans fidèles et des critiques élogieuses. En plus de sa carrière solo, Crenshaw a écrit des chansons pour d'autres artistes, notamment le hit "Til I Hear It from You" des Gin Blossoms. Il a également contribué à des bandes sonores de films et a joué dans le film "La Bamba" en 1987, où il incarnait Buddy Holly.
Bien que Crenshaw n'ait pas toujours connu le succès commercial de ses débuts, son influence sur la scène musicale reste indéniable. Ses albums "Field Day" (1983) et "Downtown" (1985) sont considérés comme des classiques du genre power pop. Aujourd'hui, Crenshaw continue de tourner et de produire de la musique, prouvant que son talent et sa passion pour la musique sont intemporels.
Un Dia Mas
Voici la face B du single de Luna. La basse a un petit quelque chose d'Octobre et le tout sonne un peu moins tubesque que cette face A entrée à la postérité !
Noël Nickel
D'habitude, j'ai un minimum d'infos sur les groupes dont je parle. Ce coup-ci, je n'ai... rien ! Ce single a été enregistré à Châtellerault. Les boires à rythmes ont été programmées par un quasi-pro et produit par Robert Carpentier. Un artiste qui a sorti 8 singles sans que personne ne s'en rende compte ! Bref, ce single synth-pop minimal sonne plutôt pas mal ! Et sa pochette est vraiment étrange (comme le nom du groupe).
Luna
Au début des années 80, les synthés bourdonnaient fort à Madrid. Mais les ondes électroniques ne s’arrêtaient pas aux limites de la capitale. Elles rayonnaient doucement à travers tout le pays, contaminant les esprits mélomanes jusque dans les coins les plus inattendus. Comme Ponferrada, dans la province de León. (La ville de León se situe dans le nord-ouest de l'Espagne. Elle est la capitale de la province de León, qui fait partie de la communauté autonome de Castille-et-León. Géographiquement, León est bordée au nord par les Asturies, à l'est par la province de Palencia, au sud par les provinces de Zamora et de Valladolid, et à l'ouest par la Galice.)
C’est là qu’en 1981, Carlos Blanco (claviers, boîtes à rythmes) et Marián Fernández (chant) fondent Luna. Lui vient du rock progressif, elle des orchestres de bals. Inspirés par Mecano, Azul y Negro ou Video, ils bricolent un répertoire électro-pop léger et entêtant. Les rejoignent ensuite Diego González (guitare) et Berto Soto (basse).
Pendant un an, Luna se forge sur scène, écumant les discothèques du nord-ouest espagnol. Leur activité attire l’attention des producteurs Julio Ruiz et Paco Martín, alors aux manettes du sous-label MR chez Ariola. En mars-avril 1983, ils enregistrent leur premier album, « Luna », aux studios Kirios de Madrid.
La critique les compare aussitôt à Mecano — comparaison un peu agaçante pour eux, mais pas totalement infondée. On y entend aussi des influences d’OMD, jusque dans les sons de synthé à la Roland. Le single « Mi Verdad » cartonne cet été-là, précédé par « Es un Sueño », premier succès modeste. Luna passe à la télé, entre dans le Top 10, et se retrouve même en première partie de la tournée espagnole de leurs héros d’OMD.
Mais dès 1984, le vent tourne. Diego et Berto quittent le navire. Le groupe, réduit à un duo, publie « Tú De Qué Vas », en single et maxi. Malgré la production de Paco Martín, c’est un échec commercial cuisant, qui précipite leur départ d’Ariola.
Un dernier baroud d’honneur suit avec « Dioses Perdidos » (Twins, 1985), réalisé avec Manuel Toro aux arrangements. Le son devient plus pop, plus organique, moins électronique. C’est un disque discret mais honnête, qui marque la fin de leur aventure discographique. Luna continue quelque temps à se produire en Galice et dans la province de León, puis disparaît du paysage en 1986.
Luna reste dans les mémoires comme un groupe à hit unique. Une parenthèse fraîche, dansante, parfois naïve — mais typique de cette époque où tout le monde voulait sa part de Roland, de Revox, et de refrain accrocheur. Voici leur fameux hit "Mi Verdad" !
Ceci est mon 3000e post
Incroyable, mais ceci est mon 3 000e post ! C'est une véritable performance... je ne pensais pas aller aussi loin ! Big-up à tous ceux qui m'ont aidé et m'aident au quotidien... Et surtout big-up à vous, lecteurs chéris, amateurs éclairés de rock indé autoproduit... Ou pas ! Si vous avez une vieille K7 en répétition de votre groupe dans les années 80 (voir 90), envoyez-là moi ! Je n'hésiterai pas à la publier (en vous créditant, bien sûr. Le lien pour me contacter est dans la colonne de droite "Contactez Nous"). Allez, Bouloup !!! Et on se retrouve pour le 6 000e (post, bien sûr).
Les Fausses Raisons, une vraie réussite
Dernier extrait du maxi de Leitmotiv voici "Les Fausses Raisons" !
L'autre face des Misérables
Voici "Crise De Nerf" l'autre face du single des Misérables sorti en 1982 !
Joey et Dee Dee Are Allright !
Je ne savais pas que Dee Dee et Joey avaient re-joué ensemble un an après la séparation des Ramones. Jolie surprise d'autant qu'ils s'attaquent - entre autre - au classique des Who lors d'une soirée "Blitzkrieg Bash" avec un paquet d'invités ! Hey ho let's go... Nous sommes le 4 Juillet 1997 à New-York !
À ne pas confondre avec les Misérables de Toulouse
En explorant un vieux numéro de Nineteen (Hors série spécial Toulouse) de Février 1984, je suis tombé sur un autre groupe s'appelant Les Misérables mais situé à Toulouse et avec deux basses et dans une veine Crampsienne...
En 1789, la démo
Sur la chaine YouTube de TheXmiserable vous pourrez écouter de magnifiques démos des Misérables. Celles de leur unique single et d'autre qui ne manquent pas d'intérêt !
Les Misérables
Basé principalement à Bayeux, en Normandie, Les Misérables est un groupe de Oi! fondé en 1984. À l'origine, le groupe se compose de Philippe au chant, Xavier à la basse et Bertrand à la batterie. L’aventure prend un tournant lorsque Bertrand est appelé sous les drapeaux, et que le groupe se sépare de son guitariste pour divergence politique.
C’est à ce moment-là que Vincent entre en scène. Batteur lui aussi, il a surtout l’avantage de pouvoir héberger les répétitions. Une amie du groupe les met ensuite en contact avec Gilles, qui deviendra leur nouveau guitariste.
Les Misérables écument alors les scènes locales — principalement en Normandie — avec une vingtaine de concerts à leur actif. Le plus marquant reste sans doute la première partie des Toy Dolls, le 17 octobre 1987 à Lisieux.
C’est en juillet de la même année qu’ils enregistrent leur unique 45 tours au studio Melody Music à Caen. Un enregistrement brut, sans fioritures, fidèle à l’esprit du groupe.
Début 1988, Gilles quitte le groupe. Plusieurs tentatives sont faites pour lui trouver un remplaçant, mais l’énergie n’y est plus. Gilles avait pris une place importante dans la composition et l’identité musicale. Faute de retrouver cette dynamique, Les Misérables décident de se séparer quelques mois plus tard.
Un parcours court mais intense, typique de cette scène punk/Oi! régionale des années 80, qui mérite largement d’être documenté. Voici la première face de cet unique single sorti en 1987 !
Monkey Business en répét' (2)
Voici quelques images que je dois au camarade Led' (merci l'ami). Il s'agit des Monkey Business en répétition dans le local que nous louions à Boulogne Billancourt le samedi après-midi à la fin des nineties !
Harte Liebe
2e extrait du maxi de Leitmotiv de 1986 voici "Harte Liebe" soit quelque chose comme "L'amour À La Dure" !
Blondie
J'ai assez peu parlé de Blondie et de sa fabuleuse chanteuse Debbie Harry. Ils ont pourtant été un passage obligé de nos années 80 soit à travers une série de tubes/singles du meilleur effet ("Sunday Girl" en français watcha...) ou à travers leurs albums que l'on a usé sur nos platines ! Et puis les années 80 sont passées et notre envie d'écouter ce groupe a disparu. Il y a peu, leur magnifique batteur est mort (Clem Burke) et du coup, je me suis dit qu'il était peut-être temps de leur rendre hommage. Voici une cover des New York Dolls enregistrée live avec l'inoxydable Johnny Thunders ! Nous sommes à Philadephie en 1978 !
Leitmotiv, le retour
En direct d'Aubervilliers voici la new-wave gothique de Leitmotiv. Une formation à ne pas confondre avec un autre groupe gothique anglais ou bien un groupe de rock italien voir une formation progressive et symphonique canadienne ni une formation shoegaze en direct de Skopje ! Non les Leitmotiv dont je veux parler ont été actif de 1982 à 1986 et, surtout, ont eu l'honneur d'avoir un de leur single publié en ces augustes colonnes ! Et oui... Ce coup-ci, on s'attaque à leur maxi publié en 1986.
Le retour de Cellophan'
J'ai déjà parlé des Cellophan' d'Aix-en-Provence ici-même... Un super premier single sorti en 1982, 3 ans plus tard, ils sortent un magnifique mini album dont voici un premier extrait !
Dazibao
Formé à Paris en 1982, Dazibao est un groupe emblématique de la scène post-punk française des années 80. Porté par Jamil Saiarh, chanteur franco-marocain chantant en arabe, français et anglais, le groupe mêle dès ses débuts new wave, sons industriels et instruments traditionnels (épinette hongroise, bombarde). Un cocktail audacieux qui se démarque sur le premier 45 tours, sorti chez Mr. Vinyl Records.
Avec l’arrivée du guitariste Lucas Zabojnik, le son s’étoffe et prend un virage plus sombre, dans la lignée de Joy Division ou du Gun Club. Dazibao enchaîne les concerts et sort trois albums marquants : Les Musiques de la honte (1987, V.I.S.A.), Amok (1988), produit par Éric Débris et Shems/Soleil (1991, Bondage/Zelig).
Le groupe tourne en France, mais aussi en Allemagne, Yougoslavie, Italie, Belgique et Canada, partageant parfois l’affiche avec des pointures comme The Fall. Malgré une reconnaissance critique solide, le succès commercial reste modeste, et Dazibao se sépare en 1993.
Certains membres poursuivent l’aventure musicale : Jean Zundel fonde Youpi Youpi Yeah avec Joe Hell d’Oberkampf, Paul Dufayet de la Tour rejoint Kni Crik, et plusieurs d’entre eux rejouent ensemble dans Marécage.
En 2010, Infrastition rend hommage au groupe en sortant un coffret intégral de leur discographie, rappelant à quel point Dazibao reste une pierre angulaire du post-punk hexagonal, à (re)découvrir d’urgence. Voici un premier extrait de leur 1er album !
Paroles Absurdes
Dernière sélection de l'album de White Pain, voici le très bon (et poétique) "Paroles Absurdes" qui - d'ailleurs - son nom à cet album sorti en 1986 ! Une vraie réussite !
L'autre face de Recto-Verso
Voici l'autre face de l'unique single de Recto-Verso. En écoutant ce "chef d'œuvre" oublié, je me suis aperçu que je trouve la voix du chanteur complétement insupportable. C'est vraiment ce qui me dérange depuis mes premières écoutes !
Les Fricotins comme pour de vrai !
Grâce une bonne IA générative comme on les aime, j'ai pu animer pendant quelques secondes, Bibi et les Fricotins ! Le résultat est presque parfait. Mais juste "presque" !