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The French

En direct de Manchester, voici The French (ou The French 8083) et leur très bonne reprise de l'énorme tube de Kraftwerk. Difficile d'avoir des infos sur ce groupe anglais qui a pourtant publié en 2012 un long sur l'ensemble des plateformes numériques (inclus leur deux singles). Leur chanteur William Refern (comme d'autres membres du groupe) semble avoir œuvré également dans un groupe appelé Art Failure. Bref, le groupe sort un deuxième single en 1982 encore sur son propre label "Sanguine Records". J'aime vraiment beaucoup cette reprise d'autant qu'avec mon groupe adoré (Jean_Marc) on aurait pu en faire le même type de relecture... C'est tout dire !

The French (la face B)

Voici "Set Me On Fire" la face B du premier single de The French. Sympathique mais beaucoup moins intéressant que la face A.

Le single de The French

Ici, on pourra télécharger le premier single de The French sorti en 1991 ! 



Olivier + David = OD

Voici "In Time" extrait du CD d'OD "Artificial Stupidity", un duo composé de David Rosane et d'Olivier Furter. Un américain et un suisse pour une musique entre folk et électro. L'album est toujours en vente, on peut se le procurer ici-même. Sur le site de l'éditeur (French fries publishing), on trouve une très bonne critique de Rakel Saetre : " o.d. est une overdose d’Oliver et de David, de jeux basés sur l’érudition musicale et le vécu de ces deux quatragénaires expatriés à Paris. Ce duo américano-helvétique a travaillé pendant des années sur ce projet qui a pris le temps de mûrir comme un bon vin. David Rosane, beau brun sauvage et ténébreux, est un ornitologue américain qui lutte pour les animaux sauvages de New York et qui a créé un CD des chants sacrés des indiens et des oiseaux d’Amazonie. Il écrit les paroles, chante et joue de la guitare tandis qu’Olivier Furter, l’étroit Suisse, gérant de Basement Studios dans le 9e, grand brun lui aussi, s’occupe des lignes de basse et des samples.  Sur “artificial stupidity" David chante d’une façon décontractée et trainante, souvent parlée. Sa voix grave et rauque est flemmarde et dégage beaucoup de vécu et de whisky. Elle chuchote des paroles secrètes, des confidences rebelles et enfumées tel Lou Reed dans “Walk on the Wild Side”. Les paroles, surréelles et samplées expriment un certain mépris envers les effets de l’urbanisme - “the city is psyche baby” – et y oppose un autre type de valeurs : la nature et l’esprit – “are you afraid of ghosts”. En parallèle, les samples proches du chant d’oiseaux, rafraichissent l’ambiance sombre et provocatrice de la basse en ajoutant une douceur volante et onirique. L’ensemble est ainsi très riche et à chaque écoute le disque s’améliore et nous procure de nouvelles surprises qui font référence à des styles et des époques variés. A ne pas manquer." Le design de la pochette qui illustre la vidéo est signé Marc-André.
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Une chronique du CD d'OD !

 Extrait du site de French Fries Productions :

“o.d.” est une overdose d’Oliver et de David, de jeux basés sur l’érudition musicale et le vécu de ces deux quatragénaires expatriés à Paris. Ce duo américano-helvétique a travaillé pendant des années sur ce projet qui a pris le temps de mûrir comme un bon vin. David Rosane, beau brun sauvage et ténébreux, est un ornitologue américain qui lutte pour les animaux sauvages de New York et qui a créé un CD des chants sacrés des indiens et des oiseaux d’Amazonie. Il écrit les paroles, chante et joue de la guitare tandis qu’Olivier Furter, l’étroit Suisse, gérant de Basement Studios dans le 9e, grand brun lui aussi, s’occupe des lignes de basse et des samples.  Sur “artificial stupidity" David chante d’une façon décontractée et trainante, souvent parlée. Sa voix grave et rauque est flemmarde et dégage beaucoup de vécu et de whisky. Elle chuchote des paroles secrètes, des confidences rebelles et enfumées tel Lou Reed dans “Walk on the Wild Side”. Les paroles, surréelles et samplées expriment un certain mépris envers les effets de l’urbanisme - “the city is psyche baby” – et y oppose un autre type de valeurs : la nature et l’esprit – “are you afraid of ghosts”. En parallèle, les samples proches du chant d’oiseaux, rafraichissent l’ambiance sombre et provocatrice de la basse en ajoutant une douceur volante et onirique. L’ensemble est ainsi très riche et à chaque écoute le disque s’améliore et nous procure de nouvelles surprises qui font référence à des styles et des époques variés. A ne pas manquer.

Rakel Saetre

Wallenberg

J'ai déjà parlé de Wallenberg dans ces illustres colonnes, surtout pour sa période datant de 1984 à 1988 puisque Jean-Jacques "Dgé" Desuraune y jouait de la guitare. Dgé a été également le guitariste de Cérémonies, Chinaski's puis plus récemment de Demolition Party. Voici, extrait d'une compilation "Transmission Continued (84-96 More French Cold Wave)" datant de 2004 le très new wave "Silence Of The Death" toujours avec le camarade Dgé.

O.D. inédit !

Voici un morceau inédit d'O.D. O.D. pour Olivier et David (Rosane), le groupe Elctro-Folk responsable d'un seul et unique album que l'on peut se procurer ici. Trouvé sur le site de French Fries (leur producteur), une critique plutôt sympa de l'album par un certain Philippe :
"Il y a dans ce disque tellement de matière que même à la dixième écoute, on trouve encore de ces petites choses qui nous font dresser l’oreille, nous surprennent et nous font encore espérer dans cette musique fin de siècle. Il est de ces disques qui nous font penser à ces terres jamais traversées et que pourtant nous trouvons familières. C’est dans ces contrées que DJ Dave and the Olive Twist nous emmènent. Comme dans cette ville imaginaire du film ‘Poussières d’ange’ où on retrouvait des quartiers de Paris, les quais de Lyon et le port de Marseille, David et Olivier ont construit ce disque en mélangeant les repères sans rien perdre en cohérence. Essayez d’imaginer : nos deux zigotos enfermant dans un studio de dix m2, le Velvet Underground, Nick Cave, les Tindersticks, Scott Walker, les Stone Roses, Portishead, les Stranglers, les Nits et même les Miles Davies et John Coltrane de la tournée européenne de 1960 et écoutant tout ce petit monde par le trou de la serrure. Résultat, une cacophonie ? Non, plutôt une harmonie de différents tons qui nous emporte comme un alcool doux. Trop d’influences pour les qualifier de suiveurs. Plutôt des érudits de la musique. Un peu comme l’histoire du peintre japonais qui, pendant des années va observer des fleurs pour n’en dessiner qu’une à la fin de sa vie. Ces deux-là ont écouté les meilleurs disques pendant 20 ans pour faire l’album le plus serein et achevé depuis longtemps. Un disque désenchanté mais pas triste pour autant. Au contraire, le côté ludique comme dans ‘I’m in a zone’, ‘20th century ghost’ est une de ses caractéristiques. Quant aux textes, ils sont chantés à la façon de confidences nocturnes dans des bars, quand l’alcool et le tabac ont fait leur travail de déconnexion avec la réalité triviale. Quand l’esprit est déchargé de la pesanteur du corps et en rejoint d’autres à des milliers de kilomètres de là. “ Ouija board, Ouija board would you help me because I still do feel so horribly lonely ”."
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