Le désert de Cérémonies

Dernier extrait de la première démo de Cérémonies, voici "Désert". Ce tître me rappelle mon premier contact avec le groupe, la première vibration sonore. Avec le recul, ce morceau évoque une sorte de cauchemar qui tournerait en boucle. Un légionnaire condamné à marcher dans un enfer sans fin. Bouhhh, ça fait peur. Le son est plutôt bon même si la composition a un peu mal vieilli. A réécouter, en tous cas !
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Lyliak, acte 2

Deuxième extrait de la démo de Lyliak, le groupe de Dgé et Manou... ça sonne un poil anachronique. Une chanson façon Catherine Lara new-wave, quelque part entre Fréhel et Kas Product. Etrange ! Dernier détail, je ne suis absolument pas sûr de son tître !
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Les Monkey Business et leur extraordinaire fulgurance

J'en parlais l'autre jour. Les Monkey Business avaient cette énergie brute et mal dégrossie acquise à la sueur des guitares et des longues improvisations. Voici un autre morceau que j'avais complétement oublié. Ils le jouent en mode rouleau-compresseur. La version que j'ai retrouvée est en mono (!) ce qui n'arrange rien. Tu peux me détruire, je t'aime... Toute l'histoire du groupe ! 
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Les Fricotins vont surfer

Et puis à force de faire du rock instrumental, Bibi & les Fricotins ont voulu se "frotter" aux standards du genre. Ici il s'agit d'une adaptation de "Wipe out" des Surfaris. Jean-Yves est au sax et il semble s'éclater. Les Fricotins n'ont jamais joué en concert cette reprise qu'ils jugeaient un peu linéaire... Pas faux !
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Cérémonies, le visuel signé Franck War

Voici un visuel réalisé par Franck War, le chanteur de Cérémonies pour son groupe !
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Frantz Electrolyse, le visuel

Voici un visuel réalisé par Marc-André pour son premier groupe : Frantz Electrolyse !
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Improvisation à la Monkey !

Quand on parle des Monkey Business, il est difficile d'expliquer leur extraordinaire fulgurance. Ils  avaient parfois cette énergie brute qui n'avait rien à voir avec leur qualité d'instrumentiste. Dans ce court passage, où Sandy doit jouer du clavier, on sent cette décharge typiquement rock and roll. Dieu merci, je n'ai pas mis les 10 minutes que durent ce "bœuf" sauvage !
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