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Folk You, le merchandising de Neon Campfire

On peut acheter des produits dérivés siglés Neon Campfire, ici-même. Neon Campfire est une des formations de David Rosane dont j'ai déjà parlé ici-même ! Le concept est de David et la mise en image est signé Guillaume Boitelle ! 


Neon Campfire, live "Comme des cochons"

Il m'a fallu une bonne dizaine d'années pour, enfin, diffuser ce concert des Neon Campfire... Un des groupes de David Rosane. A l'époque avec i-breed (mon agence de design) nous avions participé à la réalisation de leurs deux cd les "Bunny Tracks". Lorsqu'en Décembre 2010, Basement et French Fries organisent un concert du groupe, je me met en tête de filmer leur prestation. Que je publie (en partie) sur YouTube dans la foulée. David n'est pas content de leur prestation. D'ailleurs, il le dit à la fin de la vidéo, ils ont joué "comme des cochons". Il me demande de retirer la vidéo, m'engueule un peu au passage... Je m'exécute. Quelques années après, de l'eau a coulé sous les ponts et je me met en tête de republier ce live. Sauf que je n'arrive pas à le retrouver. Après des mois de recherche, je retrouve les 2 morceaux publiés sur le chaîne YouTube d'i-breed. Je cleene et je republie. Il y a une semaine, confinement oblige, je me met en tête de vider mes placards et je tombe sur un disque dur oublié. Miracle, le concert est là... Presque dans son intégralité. Sauf qu'il manque les 2 morceaux déjà publiés. Rien ne m'arrête, je rassemble le tout, édite, équalise mixe... Etc. Et voilà ! En exclusivité mondiale (et après 10 ans d'attente) voici les Neon Campfire qui ne jouent pas vraiment comme des cochons !
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David Rosane ne sera jamais une Pop star !

Il m’est difficile de parler objectivement de David Rosane et de sa musique. David, je le suis depuis presque trente ans. Et quand j’emploie le verbe suivre, verbe transitif direct du 3e groupe, c’est un choix particulièrement réfléchi. Parce que je l’aime, j’ai décidé de « suivre » David, mon aventurier préféré, dans toutes ses péripéties, conquêtes et expéditions. Le verbe suivre désignant ici le fait d’approuver et de soutenir quelqu’un dans son action. J’avoue honteusement et par comparaison, ma peur de la prise de risque et mon conformisme petit bourgeois typiquement parisien.

Américain d’origine, il a préféré la Vie (avec un v majuscule) à l’inertie académique, il s’est donc construit (et éduqué) sur le terrain, à la rencontre de ses passions. Il est devenu cet homme d’une incroyable complexité. David Rosane est (entre autres) journaliste, écrivain, agriculteur, ambassadeur, cuisinier, universitaire, formateur, ornithologue… Mais aussi activiste et musicien. Il est donc difficile de le résumer. Chacune de ses facettes forment un tout, multiple et passionnant, qui lui permet, au final, d’écrire et d’interpréter de très belles chansons accessibles au plus grand nombre… Paradoxalement pour notre plaisir personnel et égoïste. Le Book of Zoo en est la vivante démonstration. Au final, même si ce n’est que de la musique, celle de David fait partie intégralement de ce qu’il est, elle n’est donc pas à prendre à la légère.

Notons qu’aimer David n’est pas qu’un suivi, c’est aussi un combat. Il faut savoir lui répondre lors de débats endiablés et argumenter si possible intelligemment (malheureusement, souvent en anglais). Je reconnais mes limites quant au Disputatio qu’il pratique avec maestria. Je ne fais pas le poids. Il faut aussi désamorcer ses défenses naturelles et passer pardessus sa timidité (qui peut être prise pour de l’arrogance). Mais c’est juste une vague similitude car, dépassé tous ces obstacles, il nous reste le David, mélange d’intelligence, de gentillesse, d’écoute et de générosité. Cette générosité je l’ai retrouvé aussi à l’écoute de ce « Livre du Zoo ».

Au départ, nous avions tous rêvé pour lui d’une réussite musicale proche de l’image d’Épinal. Nous, j’entends son fan club. Moi surtout, quand, il y a 10 ans, je lui ai demandé de reprendre sa guitare (cette incitation est aujourd’hui ma fierté). Top 50, coke et groupies, pognon, sexe et gros seins, passage à Taratata en duo avec Julien Doré et pour finir la couverture de Rock & folk. Mais c’est sans compter sur ce qu’il l’anime vraiment, l’intime nécessité de communiquer et de faire « gagner » ses idées. Car David est un homme qui choisit sa voie et ses combats. Personne ne décide à sa place, il en va de même avec sa musique. Une fois encore, David est un activiste. David se bat pour ses idées et s’en est presque fatiguant tant son énergie demeure constante et intacte au fil du temps. Croire dans le possible des révolutions est, chez lui, le symptôme d’un optimisme inattendu à l’écoute de ses chansons les plus tristes. David est un vrai optimiste qui trouvera un moyen de sauver ce que nous sommes et ce qui nous entoure : la Terre, le règne Animal, la Nature et les Éléments et plus généralement notre humanité. Une autre qualité que j’admire (aussi) chez lui et que l’on retrouve aussi dans ses chansons. Cette ambition sans limite est magnifiquement impossible. Moi, je me bats plus volontiers pour le juste remboursement de mes notes de frais en fin de mois.

Non, David ne sera jamais une pop star. Une fois cette absence de folklore rock and roll acceptée et dépassée, il me reste ce nouvel album et les messages qu’il nous transmet. En tant que français de souche, il m’est parfois difficile de rentrer dans les nuances de ses mots en anglais. Souvent, une explication de texte s’impose. Cet assemblage de 14 chansons ne déroge pas à cette vieille habitude car il est constitué d’une multitude de nuances qu’il me faudra décrypter pour me rapprocher un peu plus du cœur de sa compréhension. Pour ce 9e album, j’ai cependant l’impression que son vocabulaire s’est simplifié sans perdre de sa complexité polysémique, un terme savant qui fait bien et que je sors de temps en temps.

Chaque nouvelle chanson de David participe à un ensemble bien plus vaste (j’ai presque envie de parler d’un « corpus » pour faire à la façon d’un critique musicale aux Inrockuptibles) qui nous apparaîtra comme un tout, bien au-delà de ce Book of Zoo… Si nous tenons jusque-là, à la fin de l’Histoire. A n’en pas douter, David construit une œuvre et le Temps nous en fera la démonstration. J’espère simplement la partager (cette œuvre), dès aujourd’hui, avec le plus grand nombre. Car David mérite d’être écouté et plutôt de son vivant, si possible.

Dans le Book of Zoo, sa dernière aventure musicale, David a laissé de côté ses vieux démons alternatifs (forcément datés) pour se concentrer sur ce qui me touche et semble être l’essentiel : ses chansons. Le reste, en vérité, on n’en a rien à branler. Ces 14 titres pourront être joués au ukulélé ou par un orchestre symphonique. Elles garderont leur intégrité et leur beauté. Voici donc 14 morceaux en anglais, enregistrés aux USA, là d’où il vient (aussi). Même si par bien des côtés, David est le plus français de tous nos résidents américains. Je le sais parce que je l’ai vu refaire le Monde à grands coups de ballons de rouge, accroché au comptoir d’un café, empruntant parfaitement l’accent parisien.

Une instrumentation claire et précise, des guitares qui ne se cachent pas derrière de la distorsion, une voix simple et chaude mise en avant. Un timbre particulier que je reconnaîtrai entre 1000. Et surtout ses mélodies. Celles qui me font remercier de compter David parmi mes amis. Celles que je fais écouter – en soirée - en soulignant mon lien de parenté avec cet étrange leader des Zookeepers qui me parle en anglais mais à qui je réponds en français. Car, oui, David est mon filleul et même si nous ne croyons pas vraiment en Dieu en tant qu’entité barbue et bienveillante, nous savons tous les deux que ce que nous avons créé nous survivra. C’est là le seul vrai miracle chrétien. Survivront donc, nos enfants, ces chansons, quelques mots bien choisis et peut-être un bout de nos rêves passés, présents et futurs. D’ailleurs, «Dans les mots des chansons (…) Je te survivrai » a prédit Didier Barbelivien dans le fameux « Je te survivrai » interprétée par Jean-Pierre François.

Dès la première écoute, certains titres se sont spontanément alignés avec mes goûts et ma grammaire musicale : réverb des grands espaces, chœurs de filles qui réveillent la libido, arpèges pop, arrangements légèrement datés, voix tremblante et émue de celui qui intériorise quand il chante. Alors, par facilité, j’aurais pu citer 2 ou 3 références musicales universelles, pour contextualiser ce nouvel album des Zookeepers et provoquer plus rapidement l’adhésion. J’ai d’abord pensé à Dion DiMucci (période Folk Blues) ou même à Richie Havens (sur son premier album « Mixed bags »), mais les deux sont franchement loin. Finalement, rien ni personne ne me vient à l’esprit. Ce dernier disque ressemble donc à un très bon disque de David Rosane & les Zookeepers.

Notons, au passage, une petite particularité de la tracklist du Book of Zoo, certaines de ces nouvelles chansons nécessitent de vivre avec. Ce sont d’ailleurs celles-ci qui sont en train de me changer. Car toutes les bonnes chansons me transforment et redéfinissent le monde qui m’entoure. C’est comme ça que je sais qu’elles sont bonnes. Seuls regrets mais qui n’engagent que moi, une joliesse et une sophistication sonore, à mon sens, inutile. En vérité, je rêve toujours d’un David planté derrière le micro tête de mort (un Shure 5575 LE) des studios Sun à Memphis. Le linoleum sous ses Palladium, debout dans ces 20 mètres carrés quasi vide et désaffectés. L’ombre des « grands » du blues et du rockabilly lui donnerait un relief total : l’authenticité fondatrice des pionniers. Je rêve d’un David sans son sempiternel galurin (qui a tendance à lui faire de l’ombre), direct et brut de décoffrage. C’est peut-être la naissance d’un nouveau projet de crowdfounding ou d’une pétition en ligne, contestation oblige. Rien n’est perdu à ce niveau et peut-être qu’un jour…

Dans cet album, David s’imagine cow-boy sur le retour et se pose les questions de ceux qui font le bilan : « WTF (went wong) ? ». A quel moment ça a merdé ?  Il se promène parfois dans cette ville polluée mais qu’on aime quand même. Il redevient cet enfant qu’il n’a jamais cessé d’être, cet amoureux professionnel qui n’a de cesse de retomber (amoureux), cet homme qui préfère en finir, cet autre homme qui se bat au quotidien et qui redoute le jugement divin. Cet homme, aussi, touché par la Beauté et la complexité de l’Univers et qui de ce fait ne peut que croire en Dieu ! Car comme disait Einstein : « Dieu ne joue pas aux dés ».  Bref, David (dans ses chansons) est un peu schizophrène et nous dévoile des bouts de son intimité et de ses paysages intérieurs, de ses angoisses, de sa complexité, de sa poésie et de ses rêves. Plein d’autres choses encore, des nuances que je vous laisse découvrir par vous-même -  pour peu que ce long texte vous en ait donné l’envie - et que vous soyez parvenu jusqu’à cette conclusion en forme de prédiction :
Vous lirez dans le « Book of Zoo » comme dans un livre ouvert car cet album de DavId Rosane et les Zookeepers est un très bon livre, beau et accessible à tous. Il suffit de l'écouter pour l'entendre.

 Boulogne, Mai 2018

PS :  Vous pourrez écouter et acheter en précommande « Book Of Zoo » de David Rosane & The Zookeepers ici-même. Tous les bénéfices seront reversés au profit des bibliothèques publiques du Vermont. David et ses Zookeepers, pour soutenir activement cet accès au savoir par le plus grand nombre, seront en tournée tout l’été dans ces dites bibliothèques. Si le sujet vous intéresse et si vous passez par le Vermont, vous trouverez, sur leur profil Bandcamp, du groupe tous les détails !

PS 2 :
OFFICIAL BIOGRAPHY of ZOO
The Zookeepers are a multinational collective of musical heavy hitters in full flagrant creative collaboration with Post-Punk Power and Protest rocker David Rosane, who also has a gentle side. Dave used to work as a full-time native american activist and field biologist in South America. Core Zookeepers are Bradford, Vermont-based Indie Jazz-wave duo Don Sinclair and Jennifer Grossi, both community activists and music teachers by day.
Zookeeper music might be best described as INDEPENDENT folk rock with a post-punk Americana bent, particles of Goth & a glaze of Pop. Influences include, off the cuff, Joy Division, Echo and the Bunnymen, Bob Mould, ABBA, Neil Diamond, Jazz stuff that Don listens to, The Velvet Underground, The Doors, Nick Cave, almost anything from Mo-Town, The Gun Club, Neil Young, the Boss and yes, even the Rolling fucking Stones.

CONTACT: DavidRosane@gmail.com
*This is Dave's 9th album as a singer-songwriter/band member:

Previous work:
Milk & Alcohol - as Stereo Child (reissue forthcoming)
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Photo Fabrice Plas

Neon Campfire et David Rosane

Voici deux portraits de David Rosane pris lors d'un concert de Neon Campfire aux USA (dans le Vermont). 


Neon Campfire, affiche inédite

Voici un projet d'affiche, non retenu, réalisé par Guillaume Boitelle pour Neon Campfire (il s'agissait de leur tournée d'été aux USA en 2012).
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Neon Campfire, 10 ans déjà !

Il y a dix ans tout juste, Neon Campfire faisait une tournée d'été dans le Vermont ! Voici l'affiche de la tournée réalisée par Guillaume B.



Neon Campfire, affiche 2011

Une autre affiche pour Neon Campfire (ce coup-ci, il s'agit de la tournée 2011), toujours signée Guillaume Boitelle !


David Rosane, encore

Il y a une bonne douzaine d'années, j'avais demandé à mon ami David Rosane de reprendre sa guitare pour enregistrer (il n'avait plus rien fait depuis une dizaine d'années). Avec l'aide de Nick B. du Studio Basement/French Fries, nous l'avons mis devant un micro pour enregistrer - façon folk low fi - ses chansons. Nous avons organisé plusieurs sessions, mais rien ne semblait convenir. Il faudra attendre sa rencontre et sa collaboration avec Denis J. pour que ses chansons trouvent une forme définitive tant au niveau de l'écriture que de leurs arrangements. C'est ainsi que l'aventure Neon Campfire a commencé !  C'est pourtant exactement ce son ça que j'avais en tête ! J'ai retrouvé ces enregistrements dans mes archives, sans noms et sans plus d'informations. J'ai donc décidé de les nommer et de les partager... La photo qui illustre la vidéo a été prise par David et devait peut-être apparaître dans les CD de Neon Campfire.

Souvenirs d'un concert des Neon Campfire

Voici quelques photos "souvenirs" de Neon Campfire feat. David Rosane (avec un chapeau... hum) live à la Gouttière (dans le 11e) sans doute en 2011! On y reconnaît également Lucie et Cécile !








Neon Campfire, une vidéo inespérée

J'ai publié la semaine dernière une vidéo live des Neon Campfire et au bout du clip que j'ai récupéré, il y avait un second tître quasiment caché. Un miracle puisque j'ai perdu toute la vidéo d'origine. Voici, pour le plaisir, "Jungle Noogie", live en Décembre 2010 à Paris ! Comme la première vidéo, j'ai retravaillé le son (et un peu l'image) !
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David & Lucie

Après l'aventure Neon Campfire, David Rosane a joué en duo pendant quelques temps avec Lucie. Lucie est violoniste et danseuse de claquettes. Le résultat était formidable et je regrette que les deux ne soient pas allé un peu plus loin. Il y avait vraiment quelque chose d'unique dans ce projet. Une ambiance folk roots unique qui leur allait vraiment bien. Voici un titre créé avec Neon Campfire et repris par David & Lucie sur l'album "Dog Day". Le visuel qui illustre la vidéo est l'œuvre de Guillaume B.

I dig Neon Campfire

Extrait de "Resurrection" de Neon Campfire, voici "Dig". Un très beau titre du groupe qui comprenait David Rosane et Denis Jarosinski. En guest star sur ce titre, Cécile Pernette, la compagne de notre pote Edouard. Le CD est produit par i-breed et date de 2010, le concept visuel est l'œuvre de Guillaume Boitelle. Si on souhaite écouter d'autres titres du groupe, il suffit d'aller ici de ma part ! Ou bien acheter l'album qui est encore en vente ici ! La photo qui illustre la vidéo a été prise lors d'un live du groupe au Connetable à Paris !
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Stéphanie et Nick, live

Lorsque Neon Campfire joue au Corcoran's en Décembre 2010 (la vidéo est visible ici-même)... Deux autres artistes sont au programme : Stéphanie L. et Nick Buxton. Nick est le patron de Basement où nous avons tous enregistré et répété : Neon Campfire, OD, David & Lucie, Lyar ///, Blade, Nouveaux Monstres ou Jean_Marc. Basement est aussi éditeur/producteur via French Fries. Stéphanie L., compagne de Nick, a sorti sur ce label plusieurs albums. Quant à Nick, il a participé à un nombre incroyable de projets et de productions dont son groupe, les Jacks de l'Or. Ce soir -là,  en plus de jouer, Nick s'occupe du son. Voici quelques photos de cette soirée !






Neon Campfire, live !

Sans doute, un des premiers concerts (à Paris) de Neon Campfire. A l'époque, David estimait que la qualité sonore n'était pas au top et donc je l'avais gardé pour moi. Aujourd'hui, le temps a passé et c'est en tant que document d'époque qu'il faut le regarder ! C'est toujours émouvant d'assister à un concert de David... Ici en duo et dans un bar à Pigalle !
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Un Rosane inédit !

En fouillant dans les archives de mon ancienne société (i-breed), je suis tombé sur des démos enregistrées par David Rosane (à la maison) pour ce qui devait être un album appelé "Pornithology". A l'époque, nous voulions le produire et sortir un Cd sous son nom. A la place, David a préféré sortir 2 albums des Neon Campfire, les Bunny Tracks. Au tout début du morceau, on entend Manny le fis de David. Au final, dans ce blog, j'aurais énormément parlé de David à travers : Seaton, Monkey Business, Neon Campfire, David & Lucy, Blade, Zookeepers, Not Your Animal... Etc. Voici pour la première fois "Monsterhead" !
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David Rosane dans le studio

Lorsque j'ai supplié, il y a presque 15 ans, David Rosane de retourner en studio (David avait arrêté la musique)... Il s'est d'abord fait un peu prier et puis, il a finalement accepté. Je me suis transformé en producteur et, très vite, des séances ont été bookées chez nos copains de Basement. Malgré de nombreuses versions, David ne semblait pas tout à fait content de ce qu'il enregistrait. Du coup, rien n'est sorti et une rencontre plus loin, il se lançait dans l'aventure Neon Campfire ! Avec Neon Campfire, il a pu finaliser les chansons qu'il avait "esquissé" en studio. Voici un petit souvenir photographique d'une de ces sessions chez Basement.






Neon Campfire, le dossier de présentation

En complément des 2 cd que nous avions produit à l'époque (les "Bunny Tracks") et offert  - notamment - à nos clients, i-breed par l'intermédiaire du camarade Guillaume B. avait réalisé un court dossier de présentation du duo Folk Punk pour accompagner l'ensemble. Un très joli document que l'on pourra télécharger ici-même.



David Rosane, the accoustic way...

Allez, petit inédit de derrière les fagots. Voici un morceau que j'adore mais dont je ne connais pas le titre exact. Je l'ai donc intitulé "Singing till the end" en attendant d'avoir confirmation par l'auteur, interprète et arrangeur. Ce tître enregistré à Basement (avant les Bunny Tracks de Neon Campfire) est ce que j'avais en tête depuis longtemps. David Rosane, près de l'os, comme il sait si bien faire. L'image sur la vidéo a été prise pendant ces sessions par Marc-André.
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David Rosane dans le studio

Voici une photo de David Rosane prise à Basement lors de l'enregistrement des démos de son premier CD avec Neon Campfire !
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Serial, live

En Décembre 2010, Neon Campfire, un des groupes de David Rosane, joue dans un pub du côté de Pigalle. Pour l'occasion, je plante mon caméscope devant eux. J'en profite pour publier un extrait quelques jours après. David n'apprécie pas et me demande de retirer le clip de YouTube. Pas top, pas au niveau... Bref, je retire. Depuis quelques mois, j'essaie de remettre la main sur la vidéo. Sans succès et ce jusque j'aille refouiller dans le compte YouTube utilisé à l'époque. Je retrouve l'extrait publié et oublié. J'en extrait l'audio que je filtre, re-équalise et que je ré-injecte à l'image. Et voilà ! Je republie officiellement cette vidéo aujourd'hui ! Voici "Serial" en version live...
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